Bon. Ai-je encore des lecteurs ?
Alors, comment ça va ? m’a dit mon ami informaticien préféré, celui qui avait réalisé ce joli blog afin que je puisse rédiger vomir mes états d’âme.
« Comment ça va ? » Je ne savais même plus. Pourquoi je n’écrivais plus sur le blog ? Je ne savais même plus. Alors je suis allée voir. Le dernier article, sur le covid long. Comme par hasard. Eh oui, c’est lui, ce satané covid long, qui m’a envoyée au plus profond des enfers. Le covid long, qui maintenant existe, depuis que y a de belles reco HAS. Que maintenant, c’est le nouveau diagnostic poubelle (j’vous raconterai, bientôt, si vous revenez m’écoutez, mes chers gentils lecteurs).
Voilà, ce covid long, je fête ses 3 ans, en ce janvier 2025. D’ailleurs, la bonne année mes lecteurs ! Je vous souhaite… je ne vous souhaite rien, parce qu’on l’avait déjà vu, ça ne marche pas ces souhaite. Mais en vrai, toujours tout le temps, je vous souhaite la vie douce, la vie belle, la vie gentille, la vie simple, la vie heureuse. Sincèrement.
Voilà, ce covid long, fête ses 3 ans. 3 ans, 3 infections. Mais la dernière, décembre 2023, donc un peu plus d’un an. Je crois que moins on l’attrape, ce petit virus de merde, mieux on se rétablit. Alors courage pour ne pas l’attraper, courage avec le ping-pong de la vie sociale (de chouettes retrouvailles en intérieur assis entre amis, j’y vais j’y vais pas ?), courage avec le masque là où c’est devenu politique d’avoir un masque. Choisissez-le coloré, vif, ça passe mieux. Ça parle de lui-même. Y avait eu les masques transparents, c’était cool, mais ils ont des trous béants sur les côtés. Y a 4 ans, on n’avait pas compris surement…
Voilà, ce covid long, fête ses 3 ans, pour moi, et ça va un peu mieux, maintenant, alors je vous écris, ici. Pour faire plaisir à mon ami, l’informaticien. Pour justifier de payer un nom de domaine et un abonnement wordpress (oui oui parce qu’à vous écrire, je gagne rien, au contraire, je paye). Et puis peut-être, pour avoir la chance d’être lue, de vous donner un peu, autant que possible à travers ces mots, de mon amour.
A l’heure où il serait plus vendeur de tourner des vidéos, mais aussi à l’heure où les réseaux sociaux bâtent de l’aile, je redonne vie à ce blog, à l’instar du petit répit que m’octroie, ce covid long.
A bientôt, j’espère, chers lecteurs bien aimés.